Wikipédia
On dit souvent que Wikipédia, n’est pas une source fiable de renseignements.
Mais quand le dictionnaire classique ne donne RIEN, nous sommes bien obligés de nous fier à Internet !
Intriguée depuis plusieurs années, par une espèce vivante non commune, découverte au hasard d’une CROP, j’ai quand même consulté cette bible des internautes pour tenter de comprendre…Et voilà ce que j’y ai lu :
« Le W H (Waechterus Hominides) est un bipède né de la rencontre rare et exceptionnelle d’un alsacien et d’une vraie/fausse catalane à l’accent audois.
Cette particularité fait de lui un être à part qui est tiraillé par ses origines opposées.
Caractéristiques et ambivalences :
Description : Le Waechterus Hominides, qui vit en pays audois, est la seule espèce du genre ERICIEN, (sous-espèce du Tim américain, race en voie d’extinction), parfois surnommé le TIMDOUVEILLAN, qui supporte religieusement l’USAP.
L’animal, à maturité, peut faire 180 cm et plus au garrot, de corpulence impressionnante, il peut effrayer ses prédateurs mais reste d’une grande sensibilité…
Il vocifère souvent pour paraître féroce, mais il se laisse dominer par sa meute , la petite Evelyne des champs, la Frédérique des vignes et la Mumu picarde.
Sa voix en général très forte peut devenir fluette quand il lit des blagounettes !
Reproduction :
Bien que ne pouvant engendrer que des filles, il élève de nombreux garçons.
Le nom de cette branche est donc menacé.
Alimentation et habitat :
Alors que l’hibernation n’est pas commencée, il fait réserve de douceurs, pots de fruits à l’alcool et autres trouvailles culinaires …son point faible !
Son terrier est d’inspiration steampunk.
Il y séjourne très régulièrement au milieu de vieux papiers qu’il va récolter dans les greniers.
Il y stocke les produits de ses chasses compulsives : vieilles caisses, montres d’antan, boites à secrets et rouages divers.
Mode vie et marottes :
Bien que ne cousant pas, il interroge toutes ses rencontres, et ce, plusieurs fois par jour, sur l’origine du patchwork Amish.
Bien qu’hermétique à la précision, il se promène avec une règle et mesure tout, au millimètre près, puis tire des traits droits et découpe de travers.
Plutôt nocturne, il faut fréquenter des ateliers créatifs gourmands pour avoir une chance de l’apercevoir car l’animal pourtant très grand se fait discret au quotidien et fuit les foules.
Pour l’attirer, il faut être bon pâtissier et patient, lui tendre sans bouger, une part de tarte et l’amadouer avec quelques biscuits…pour avoir une chance de le photographier.
Autrement il détale et se méfie de vous.
En période hivernale, on peut arriver à le débusquer dans des CROPS ou des salons spécialisés mais c’est très ponctuel !
Il s’y sent vite en danger et pousse alors un cri étrange que les anthropologues n’arrivent pas à expliquer : « MUMU, tu peux venir STP ? »
Élevage en captivité :
En captivité l'animal, devient provocant et revêt des tenues estampillées de représentations de femelles dénudées.
Plus âgé et alors en manque d’autorité, il se croit obligé de marquer son territoire en urinant un peu à côté des toilettes, mais ce n’est pas l’apanage de cette seule espèce, d’autres races plus frêles font de même.
« Mieux vaut le relâcher et le laisser à l’état sauvage ! »